Cinquante ans et six mois
Mercredi. Le quatre. Février, ouverture des anniversaires familiaux avec ma maman le dix-sept. Le jour se lève enfin quand je roule vers TOPQ juché droit comme un piquet sur mon vélo, noir et sale. La chaîne couine, elle manque de graisse. Mes jambes n’ont plus de mordant. Le Sporting devient un supplice. Je hais les mecs de vingt et quelques ans qui savent faire des trucs et mouvements de manière élégante quand moi je peine à tenir le rythme. I loathe youth.
iWeb, iWorks, et des écouteurs : la dernière commande Apple a foiré. Les écouteurs sont d’un genre design avec gros truc en caoutchouc à mettre dans le conduit auriculaire, le son est entre basses plates et son de crécelles. Au bout d’un quart d’heure, j’ai l’impression d’avoir un coton-tige enfoncé dans la tête. Rebelote, test avec le sapin de noël en plastic mou, cette fois-ci la taille petite nature : même effet sur le vélo, quand je bouge ne serait-ce qu’un peu de la tête, ou que je mange ma pomme, ou que je parle, alors les embouts sortent de mes oreilles et le son vire à la casserole. J’en ai marre.
iWeb et la publication via FTP. Bon, ces termes informatico-chinois m’ont coûté des heures devant l’ordi hier soir. Ca ne marche pas. Ni sur MobileMe, ni sur Free. Merde. Moi qui avais des projets pour un renouveau de ce blog. Aujourd’hui, glandouille à TOPQ – pourquoi affecte-t-on à la catalane et non à la marocaine ? L’un me fait tourner les pouces, l’autre aurait été une superbe occasion. Non, la crise passa et le marché des tutures s’effondre. J’ai donc du temps pour surfer et constater que je ne suis pas le seul à rencontrer des déboires avec Free et iWeb, et ne parlons pas de MobileMe et sa syntaxe absconse.