Freude schöner Götterfunken....
Quelle joie le matin, pour la première fois cette année (du cochon, chinoisement parlant, et en plus à partir du 17 février, jour de ma maman, à laquelle je pense toujours très fort, chaque année, en allumant la petite bougie d’anniversaire dans mon for intérieur), ce matin, en sortant de chez moi, il y avait « THE » lever du soleil radieux comme sur ces peintures allemandes du romantisme flamboyant.
Rinasce, chante Violetta. très grande reine du drame lyrique. Moi je miaule, matou m’as-tu-vu, mercredi après course cause médoc et passage au Cox où whoaou primo S.B., deuzio Patrick & Jean-Paul. On n’a pas mangé ensemble au restau, ce sera pour mardi prochain.
Hier je ne voulais pas regarder la télé et me suis laissé prendre finalement par François Bayrou. Très très impressionnant, je commence à l’apprécier et je me pose des questions sur Mme Royal. Pour le supersarko, Bush croisé Thatcher croisé Haider croisé Dieu, au choix des conneries. Beaucoup de miel en traînée sur son passage. Une des raisons pourquoi il y a tant de mouches, ou serait-ce le vinaigre dans ses outres qui attire les volatiles. La présidence autosuffisante.
TOPQ en grosse rumeur de restructuration. Finalement je ne bouge pas, mais je perds un collègue que j’apprécie parce qu’il passe sur un autre plateau. Et le neuneu ADV me regarde les yeux en merlan frit, mais ne me fait pas encore du rentre-dedans. Pourvu que je ne le croise à BlueBook ce week-end.